Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 10:05
Jeune apprenti cherche initiateur- partie 2

Jeune apprenti cherche initiateur- partie 2

Non content de vivre sa séance avec plaisir, notre apprenti s'avère être un très bon élève : il pige tout de suite ce qu'on attend de lui !

 

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  • Ca caille les rats le 2017-Feb-05 10:29:26 Ca caille les rats a dit 

    Déjà, la troisième aventure vécue que je vais vous raconter. Ça passe vite. J'étais toujours à ce moment dans le même immeuble et toujours voisin de palier d'Hafid. Trois mois s'étaient écoulés depuis la première aventure. J'avais revu Frank (voir l'épisode précédent) mais toujours pas Rachid ni Lamine. Hafid venait toujours régulièrement me voir le soir, toujours pour se soulager de multiples façons. Frank avait dû lui raconter ce qu'il m'avait fait car lui aussi, maintenant, quand il venait me voir, il voulait parfois me pisser dessus et surtout que je nettoie de ma bouche et de ma langue son gland encore mouillé.


    Un soir, Hafid est arrivé, mais cette fois il n'était pas seul, j'ai été surpris de revoir Lamine, l'Africain que j'avais déjà rencontré. Il était toujours aussi grand et mince et avait troqué sa djellaba contre un survêtement et des baskets. Hafid était, comme à l'habitude, vêtu d'un jean, noir cette fois, et d'une chemise blanche. Nous avons bu un coup, eux deux assis sagement sur les deux fauteuils et moi sur le canapé. J'étais surpris qu'ils ne m'aient pas encore sauté dessus. Ils se racontaient leurs histoires, s'intéressaient même à mes études et me demandaient comment j'allais. Puis ils ont dirigé la conversation vers la séance de l'autre fois : comment j'avais ressenti ça ? est-ce que j'avais eu mal ? est-ce que ça a duré longtemps ? Je ne savais pas où ils voulaient en venir mes, j'ai été obligé de leur dire que j'avais eu mal a mon cul pendant 15 jours. Je voyais bien que cette conversation commençait à les exciter. Ils se touchaient régulièrement le sexe à travers leurs pantalons et, si le jean d'Hafid était bien trop serré, le bas de survet de Lamine laissait apparaître une bosse déjà impressionnante.


    Moi aussi, même en me souvenant des moments durs que j'avais vécu pendant et après cette douloureuse aventure, je sentais ma queue durcir dans mon jean. Je n'avais pas mis de caleçon et je n'avais qu'un teeshirt en haut. C'est Lamine qui a craqué le premier en baissant son pantalon ; « Putain, il me fait bander ce con, en nous racontant son abattage ; combien il s'est pris de mecs ce jour-là ? » Hafid lui répondit « Moi aussi, je bande en imaginant son cul éclaté. Frank me dit qu'en plus il était recouvert de foutre et aussi de quelques traces douteuses qu'avaient laissé les bites ! Qui sortaient de son cul. Frank a pas su me dire combien il y en avait mais c'était presque tous les mecs du foyer, tu sais, les vieux et moches qui trouvent pas de meufs ou alors que des putes. » Je venais donc d'apprendre quels étaient les mecs qui s'étaient soulagés dans mon jeune cul.


    Puis Hafid s'est levé, disant qu'il avait une idée. Il est sorti. Pendant ce temps, Lamine s'était mis a l'aise, c'est-à-dire qu'il avait carrément enlevé son bas de survet et son caleçon et qu'il caressait sa longue queue noire et tendue. « Viens donc, me dit-il ! » C'est sans violence du tout qu'il a dirigé ma tête vers son membre circoncis, bien entendu, je me suis laissé faire. Je ne pouvais pas le prendre en entier dans ma bouche, bien sûr mais je léchais tout le long de la hampe où passait la langue juste sur le gland qui, lui, pouvait pénétrer dans ma bouche. Lamine s'est bougé un peu! a plus relevé ses fesses et m'a demandé de lui lécher le cul. Je ne sais pas s'il l'avait fait exprès mais soit il venait de chier avant d'arriver soit il c'etais mal essuyé mais l'odeur de merde était très forte et j'ai eu un mouvement de recul. Il s'est alors aidé de ses mains pour appuyer son cul sur mon visage, ma langue juste au niveau de sa rosette que j'ai entrepris de lécher, les poils frisés qui l'entouraient ont tous été nettoyés par ma langue. Puis j'ai entendu Hafid revenir. Lamine m'a laissé m'extraire du dessous de ses fesses.


    Hafid était revenu seul, mais il avait un appareil photo à la main. « J'ai galéré pour trouver un polaroïd dans l'immeuble mais le cousin du 5e me la prêté contre presque rien. Ben Lamine, t'as déjà commencé ? »Puis Hafid me demande de me déshabiller pendant que lui aussi enlève son froc et sa chemise. Lamine en profité pour enlever également son haut. Nous sommes maintenant tous les trois à poil. Lamine se couche sur le canapé et m'ordonne de revenir le sucer, sa bite n'a pas molli et se dresse encore a au moins 23 cm de son ventre. Hafid, lui, a pris l'appareil photo et nous fixe. Lamine lui dit « Surtout tu prends pas ma gueule, hein ? » « T'inquiète pas Lamine, tu sais bien, ce que je veux c'est prendre seulement la gueule de la pute et montrer ce qu'elle peut faire »


    Je proteste que moi non plus, je ne veux pas qu'on me voit le visage. « Toi, tu fais ce qu'on te dit de faire, et tu fermes ta gueule » me répond Lamine dans un grand éclat de rire ! Il reprend ma tête pour fourrer sa bite dans ma bouche pendant que Hafid, derrière moi, se positionne pour m'enculer. J'ai d'abord le droit d'avoir un puis deux doigts dans le cul, puis un peu de salive et déjà la bite d'Hafid appuie sur mon trou et pousse violemment pour me pénétrer. En trois ou quatre coups de rein, sans s'occuper de mes cris, je suis empalé par son pieu alors que la bite de Lamine essaie de trouver le fond de ma gorge. Puis Lamine se lève et lui aussi, se met à photographier la scène. Il est face à moi et au moment où il prend la photo, Hafid, de sa main droite, me soulève la tête par les cheveux pour qu'elle se retrouve face à l'objectif !


    Je suis toujours à quatre pattes, pilonné par la bite d'Hafid, quand Lamine me met devant mon visage, sur le sol, une de ses chaussures. « Lèche, me dit-il ». M'éxécutant, Lamine prend une nouvelle photo de moi, en gros plan, en train de lécher une de ses skets, crade, puante et boueuse, tout en me faisant enculer par son pote. Hafid s'est ensuite retiré de mon cul, avant de jouir. Je m'attendais maintenant à recevoir l'énorme pal de Lamine dans mon trou de balle. Je fus donc surpris qu'il continue à prendre des photos pendant qu'Hafid, lui, s'installe à côté de moi et commence à me donner des claques sur les fesses, tout d'abord assez doucement mais bientôt de toutes ses forces. Il se déchaînait aussi de la voix : « T'es vraiment une salope, hein ? On te laissera tranquille quand tu seras vraiment notre lope à tout faire, notre esclave, notre trou à bites Quand il aura cessé de frapper, plus à cause de la douleur qu'il ressentait aux mains qu'à cause de mes propres cris, il a laissé la place à Lamine.


    Celui-ci avait pris sur mon pantalon, posé sur une chaise, mon ceinturon en cuir et c'est avec çà qu'il a commencé à me fouetter. La douleur était cette fois à peine supportable, d'autant que le cuir touchait Souvent les endroits les plus sensible, l'intérieur des cuisses ou encore mon anus sensible et dilaté. Hafid, lui, avait rapporté de la salle de bains des épingles à linge qu'il m'a installé sur les tétons. Lamine s'est alors positionné derrière moi et a placé sa queue à l'entrée de mon trou. Je ne savais pas où j'avais le plus mal, mon cul que Lamine distendait au maximum de sa large bite, mes fesses rougies que mon enculeur malaxait allègrement ou mes tétons qu'Hafid torturait avec un plaisir évident. Ils ont encore joué avec moi un moment avant de se vider sur moi. Avant de partir, ils m'ont montré les photos, une dizaine environ. Sur aucune on ne voyait leur visage alors que, sur toutes, on pouvait me reconnaître dans les positions les plus soumises et les plus dégradantes. Il les ont emportées sans vouloir me dire ce qu'ils comptaient en faire ; mais ce sera une autre histoire ! 
  • DANS LES JARDINS DU PLAISIR le 2017-Feb-07 09:58:18 DANS LES JARDINS DU PLAISIR a dit 

    Le lascar pineur que je suis se doit de fréquenter des endroits comme les jardins publics, pour y trouver sa pitance quotidienne. Pas un jour sans que je sois à la chasse, à l’affût du bon coup à tirer, et des jolis culs venus se faire piner en traînant entre les buissons, attendant fébrilement un enculeur.

    Franchement aujourd’hui il fait beau et il y a beaucoup de people candidat au plaisir. Ils tournent et retournent, comme moi à la recherche du bon coup. Beaucoup de vieux mais aussi des jeunes folasses en manque. Il ne faut pas longtemps pour que je me fasse mater par un quinquagénaire portant bien et fièrement ses nombreux printemps. Je répond à ses regards en esquissant un sourire rempli de malice, ce qui le fait aussitôt me suivre.J’entre dans les chiottes publics et commence à m’astiquer la teub face aux urinoirs.

    Il se place à côté de moi et lui aussi sort son sexe. Il ne croise jamais mon regard se contentant de reluquer mon entrejambe qui commence doucement mais sûrement à poindre vers l’horizon. D’un geste je lui fais comprendre qu’il peut me suivre dans une cabine et au lieu de ma ter bêtement, me pomper le dard. Je verrouille rapidement la porte et lui intime l’ordre de descendre sa bouche pour me ravir. Il n’hésite nullement à se mettre à genoux pour enrober ma bitte avec sa bouche.
    Sa langue se fait joueuse et titille ma libido. Ma teub devient suffisamment grosse pour lui gaver pleinement la gueule. Ses mains serrent la base de mes couilles afin de tendre la peau et de provoquer la maximale érection. Il se régale et je remarque rapidement l’agilité de ses lèvres sur mon chibre.
    Je cherche dans ma poche le poppers et prend une snifette afin d’accentuer l’effet de sa succion. Je lui en propose et presque gêné il décline l’offre. Je n’insiste pas en sachant qu’il n’est pas bon d’utiliser à outrance pareil substance, et que si on ne tient pas la route physiquement, alors autant s’abstenir. Et puis il n’a guère besoin de se dilater la mâchoire pour s’enfiler ma pine.

    J’ai envie, lorsque je rencontre un bon suceur, de lui attacher les mains derrière le dos et de le laisser me faire cracher uniquement avec sa bouche. C’est le pied total de piner pareil endroit quand le gars ou la meuf (plus rare…) s’active avec passion et arrache du plus profond de toi des râles de plaisir.
    Sa langue descend toujours plus en direction du pubis. Il tète mon gland comme un faon tèterait sa mère, avec gourmandise, alternant les caresses buccales et les fortes aspirations. Des larmes coulent sur son visage, témoin de ses efforts pour me faire cracher. Je lève les yeux et remarque une annonce inscrite au marqueur sur le mur. Salope soumise cherche bon hétéro à pomper.06 14….

    Intérieurement je rigole, me dis que c’est peut-être le gars qui me suce qui a passé cette petite annonce. En tout cas je me dis que si c’est bien lui, il n’a pas menti dans ses attributs ! J’ai envie de lui piner l’arrière train. Toujours sans mots dire, je le redresse et le plaque contre le mur, les pieds écartés dessus les toilettes turques. D’un geste rapide je lui baisse son jeans et découvre deux belles fesses bien conservées. Il se laisse ausculter par le docteur de l’amour que je suis. Mes mains palpent la chair, se dirigent tout naturellement vers son fondement. Son cul paraît serré et me fais deviner qu’il ne doit pas souvent se faire mettre. Je n’aurais que plus de plaisir à sentir ma queue forcer son intimité. De la salive sur la capote et me voilà devant sa rosette prêt à poindre mon dard.

    Au premier essai il cri si fort que je suis obligé de lui couvrir la bouche avec ma main. Je place l’autre le long de son ventre pour épouser parfaitement son corps et ainsi rentrer profondément sans gêne.
    Il mord ma main et immédiatement après me la lèche pour se faire pardonner. Je suis en lui, presque jusqu'à la garde et il aime. Doucement mais sûrement, je commence un va-et-vient dans ses petites fesses. Je sens son anus serrer mon chibre. Toujours plus loin, telle est ma devise ! Ca y est je le bourre vraiment. Mes poils viennent frotter sa raie, mes mains écartent cette dernière. Il gémit, essaie de se retirerais j’impose ma présence encore quelques minutes, sentant que j’allais me vider. Je le lime encore et finis par de profonds et violents coups de buttoir. Je me retire enlève la capote et crache sur ses fesses un foutre chaud en l’étalant avec ma tige. Je me nettoie sommairement pendant que lui se rhabille tout souillé. 
    J’ouvre la porte et disparaît de cet endroit pour aller profiter du soleil sur un banc.
    Allongé peinard je repense à cette petite annonce sur le mur des chiottes.
    06.14… Ouais j’appellerai peut être un jour, qui sait ? 
  • CITEBEUR la video est ICI le 2017-Feb-12 09:15:20 CITEBEUR la video est ICI a dit 

    LE PUR HETERO
    L'histoire que je vais vous raconter est totalement vraie. Seuls les noms des personnages ont dû être modifiés… Depuis mes années de lycée, je le connaissais comme le beau mec de la classe. C'est un peu pour cette raison que j'avais décidé de devenir son ami. D'ailleurs, même s'il était sexy, musclé, bronzé et affreusement macho séducteur, je m'apercevrai rapidement qu'il était tout autant stupide que gentil. Originaire de Cuba de par sa mère, cela lui donnait un coté latino ténébreux. Mais quand tombait le masque du mec silencieux, on le découvrait assez borné et conservateur dans ses opinions. Par de grands efforts et avec beaucoup de patience, je suis devenu l'un de ses meilleurs amis au fur et à mesure que se sont approchées les années Fac. Malgré deux orientations différentes après le bac, nous restions proche. Je le contemplai du regard, tout en étant extrêmement discret. Quand est arrivé le temps des premiers stages d'été, nous sommes tombés dans la même entreprise. Moi par connaissance, et lui parce qu'il me connaissait. Sa gratitude fut telle que nous sommes devenus les deux meilleurs amis du monde. Puis je me suis laissé aller aux confidences. Doucement, par étape, je lui fit comprendre que j'aimais les queues, et encore plus les sucer. Voire d'autres choses. Cela le faisait rire. L'étape suivante fut qu'il comprenne que sa bite me donnait l'eau à la bouche.rnUn jour où nous faisions équipe ensemble, le patron nous confiât de ranger les archives dans un sous-sol, deux rues plus loin. En partant, on croisait deux vieilles qui avaient rendez-vous avec un clerc de notaire - oui, nous étions dans un cabinet notarial. Là, je dis à Stéphane, sur le ton de la plaisanterie :rn"Tu préférerais quand même que je te suce, plutôt que ces vieilles ? - Ah non non ! Elles sont mieux que toi, répondit-il sur le ton de la provocation. - Vas te faire ! dis-je d'une voix faussement vexée." Et nous prenions l'ascenseur. Sur le trajet, j'insistais : "Sérieux, tu me vexes mec ! Tu préfères deux vieilles que ma bouche ? - Non mais arrête Loïc ! Elles, si elles enlèvent leurs dentiers, elles n'ont plus de dents. C'est super agréable ! - Pourquoi, tu crois que je mets les dents, moi ? Ça se voit que je t'ai jamais pompé !" La conversation continuait ainsi, sur un jeu de provocation. Je tentais le tout pour le tout avec des allusions claires. Je savais que cet été là était la meilleure occasion de concrétiser. Même si, au fond de moi, malgré tout, je n'y croyais pas. On arrivait enfin dans ces fichus archives. Sauf qu'en lieu et place de travailler, nous passions notre temps à bavarder et délirer. D'habitude, nous n'avions que 1 ou 2 heures pour trouver des documents, faire une pause et les ramener. Cet après-midi, c'était jusqu'au soir. Stéphane se couchait donc sur une banquette et moi je m'asseyais sur une table, dos au mur. Et la conversation reprit de plus belle : "Tu crois que ça m'a rien fait, mais quand même : dire que tu préfères ces vieilles horreurs... Pas cool. - Ça va, je blaguais... Je suis sûr que tu pompes super bien en plus ! - Bah ça c'est sûr, et mieux que toutes les copines que tu as pu avoir. Mais tu ne le sauras jamais ! - Ah bon ? fit-il d'un ton insolent qui lui allait si bien. Tu passes ta chance alors ?" J'étais persuadé qu'il se foutait de moi. "Arrêtes tes conneries Stef. - Tant pis pour toi... fit-il, le sourire au coin des lèvres.rn- Ah tu crois que j'ai peur ? Je sais que tu bluffes. C'est pas drôle.rn- Tu paries ? insista-t-il de façon provocante, en se touchant le paquet. - Ok, si tu veux ! Je sais que tu vas te dégonfler..." Je me levais, le rythme cardiaque à fond. Il se levait aussi et je le suivais machinalement. Il s'installa contre un mur sombre et me dit :rn"Allez, à toi !"rnJe me mettais à genoux et ouvrait son pantalon. J'avais faim de sa queue. Quand j'eus baissé le jean, il appuya ma tête contre son caleçon. Sa queue était déjà bandée. Je respirais son odeur de mâle à m'en éclater les poumons. Et ma main droite commençait à baisser le tissus. J'ai rapidement senti son gland contre mes lèvres. Puis j'ai ouvert la bouche, sorti ma langue. Je pensais pouvoir titiller son frein, humidifier doucement sa peau, la faire rouler jusqu'à la garde. Au lieu de ça, il m'enfonça son zob à le faire frotter dans ma gorge. Un morceau exceptionnellement bien proportionné de 19 cm dur comme le marbre et large. Une oeuvre d'art.rn"Voilà, c'est une bonne pompeuse mon Loïc ! Maintenant c'est moi qui dirige. Ne t'occupe plus de rien. Obéis à mes mouvements." Et, au lieu de ressortir sa queue, il se mît à faire des aller-retour tout au fond de ma bouche. Je ne respirai plus que par à-coup. Sans aucun répit. C'était extrêmement stimulant. Je me sentais sous son emprise. Lui le mâle dominant qui sortait avec sa copine depuis deux ans, qui racontait partout qu'il l'aimait. Il allait se vider grâce à moi. "Ouah t'es vraiment une reine de la pipe ! Tu tiens ma bite en gorge profonde si longtemps ! Jamais vu pipeuse si endurante. Je vais juter trop vite, attends..." Il retira sa queue de ma bouche, la prit en main et me gifla avec son gland.rn"Demande-la ! - Je veux ta queue, murmurais-je en tendant la langue. - Ouais je sais. Elle te plait hein ? - Oh oui elle me plait !rn- Elle te plait comment ? cria-t-il d'un ton coléreux. - C'est la plus belle des queues, la plus grosse, la meilleure. Elle me rend fou. Je la veux plus que tout s'il te plait ! implorais-je. - Tiens, prends-la bien au fond salope !"rnEt voilà qu'après 3 minutes de pause où il m'avait frotté sa queue partout sur mon visage pour m'en donner l'odeur, où il m'avait giflé, où j'étais devenu son garage à bite perso, il me remit sa queue en fond de gorge. Puis il reprit son limage sans le moindre scrupule. Il n'avait même pas réalisé que ma queue était toujours dans mon pantalon, prête à exploser : ce n'était pas son soucis, et l'intensité du moment ne me permettait même pas de me déshabiller. Pourtant, rarement le désir était si fort en moi. Perdu dans mes pensées excitantes et ce moment unique, je n'avais pas senti qu'il accélérait le rythme encore et encore. L'explosion était proche. D'un coup, il retira sa queue de ma bouche : "Ouais ! Prends ça, salope ! Tends bien ta langue !" Il me jutait sur le visage. Une quantité impressionnante. Ça coulait dans mon cou et tombait sur mon t-shirt. Le seul que j'avais pour finir la journée. "Putain t'es la meilleure suceuse, mec ! Bravo. Tiens, étale bien mon jus sur ton visage."rnIl frotta son gland partout sur mes joues, dans mon cou, sur mes paupières, sur mon front. Aucun endroit n'était épargné. Il insista : "Étale la sauce je t'ai dit, merde ! T'es sourd ou quoi ?" Je dus étaler son jus moi-même. Alors qu'il s'en était déjà bien chargé. C'était humiliant, mais j'acceptais. Et ma queue qui implorait pour juter à son tour. "Bon, j'ai plus la tête au boulot. Je rentre chez moi. Tu finis seul ça t'embête pas ? - Euh...rn- Merci, t'es cool. Et, au fait, si tu veux encore pouvoir me pomper, tu fermes ta gueule sur ce qui vient de se passer, c'est clair ? Allez à demain !" Le visage souillé, je dus travailler. Il n'y avait aucun point d'eau dans les archives. Ma queue devrait attendre. Et mon t-shirt était crade à mort. Finalement, cette expérience restera la seule que j'eue avec Stéphane. Jusqu'à aujourd'hui où, après l'avoir aperçu sur comme acteur sous le pseudo de Mister Latino, j'ai décidé de passer une audition afin de tourner avec lui. Et, au fond, j'étais fier de moi : je l'avais révélé. Il restait le mâle dans toute sa splendeur, mais un mâle qui a compris qu'un passif bien salope comme moi se donne toujours plus qu'une femme. Son esprit étroit s'était élargi. 
  • Cherche mur actif (Toute la France) le 2017-Feb-24 13:29:29 Cherche mur actif (Toute la France) a dit 

    Bonjour à tous, cherche murs actif pour me baiser sauvagement en dessous de ma copine, suis imberbe 
  • Recherche gays actif ou passif (Nord-Pas-de-Calais, Roubaix) le 2017-Feb-25 16:53:41 Recherche gays actif ou passif (Nord-Pas-de-Calais, Roubaix) a dit 

    Salut alors voila se que je recheche:
    -Plusiseur actifs pouvant me prendre en même temps
    -J'obeis a tous je suis plutot du genre soumis
    -Je realise tout vos fantasme
    -J'aime les biffles, avaler du sperm, en recevoir sur le visage, je peux même avaler votre pisse pour me faire prendre, je veux que o'on me prend par l'anus a plusieir
    -Je recheche principalement un gang-bang entre gas c'est a dire du sexe a plusieur pour mon cul et ma bouche
    Me contacter au plus vite

    Je suis un HOMME 
  • Cherche un homme qui peux me sucer (Bretagne, Pipriac) le 2017-Mar-02 15:29:48 Cherche un homme qui peux me sucer (Bretagne, Pipriac) a dit 

    Je recherche un homme qui peux me sucer
Par citebeur - Publié dans : Video gay - Communauté : only-gay
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