La mifa s’était tous rejoint vers 8h30 dans le salon pour un petit- déjeuner copieux, pour moi la journée s ‘annonçait torride, et je devais prendre des forces. Je me dirigeais vers la salle de bain pour me doucher quand Farid me rejoint et me dit à l’oreille " Alors ma petite lopsa, ça te dérange pas si je prend ma douche avec toi ", au contraire je me disais que ça allait bien commencer, Farid avait mis un short il était grave beau comme as.


quand soudain Yazid couru vers nous et nous dit qu’il avait un rendez vous en ville avec son oncle et qu’il fallait qu’il prenne sa douche vite fait, Farid lui dit " Yazid, y a pas de soucis la salle de bain est assez grande pour nous trois " en lui balançant ça Farid me regarda d’un air vicieux. Il ferma la porte a clef, Farid, lui se rasait, dommage sa barbe de deux jours lui allait bien, moi je mis à oilpe, Yazid lui était déjà en train de se savonner. Yazid avait 23ans, grand fin mais grave bien dessiné, sa queue était moins grosse que celle de Farid. - Kamelas t’as kiffé hier ou pas ? Farid avait le chic pour me mettre mal à l’aise comment s’y prendre avec Yazid. - Hier, je t’ai dit quelque chose, tu t’en souviens dis le moi, je veux t’entendre. - Qu’est ce que tu veux que je te dise Farid ? - Toi même tu sais Kamelas.


- Que je sois ta salope, enfin plutôt la salope de mes cousins. Je le dis à voix basse tellement j’avais la honte devant Yazid, qui nous calculé pas trop, il étais en train de se nettoyer le torse les cuisses, je ne pouvais m’empêchais de le regarder. - C’est bien, t’as vu ma teub là, fais la grossir avec ta bouche de pute comme hier, Yazid regarde notre salope du deblé, téma bien comment c’est une bonne chienne qui kiffe la queue de ses zincous. Yazid arrêta net ses occupations et contempla le spectacle. Je me mis a genoux et posa ma bouche sur son short, je devinais sa queue à travers son tissu. J


e ne tardais pas à la faire gonfler, je commençais à lui lécher le bout de son gland qui dépassait, j’essaye de pousser des râles de plaisir mais il me bloque avec sa teub, il me la sors de ma bouche et me frappe sur la gueule, j’en voulais encore putain que c’était bon, je savourais cette belle queue. - T’as vu ça Yazid, je t’ai dit Kamelas, c’est notre salope maintenant, hein ma petite pute, vas y occupe toi un peu de Yazid. Il était comme pétrifié, il ne bougeait plus et me présenta sa teub pleine de savons qu’il nettoya vite fait. Sa queue j’en fis qu’une bouchée, quel plaisir de goutter à des queues différentes. - Putain, grave une bonne suceuse, vas y Kamelas, suce moi bien. Yazid me bloqua ma tête et me déchira ma bouche avec violence il voulait avoir le maximum de plaisir, je bavais sur sa queue, lui bouffais les couilles le regarder comme pour lui dire vas y Yazid défonce moi la bouche de lopsa. Pendant que je le suçais à donf,


Farid, m’écarta les jambes sortis sa queue de son short il voulait me chevaucher et j’étais prêt à recevoir ce que je voulais par dessus tout, il m’enfonça profondément sa bonne grosse teub dans ma chatte de lopsa, ses coups de butoir devenait violent et je m’enfonçais la bouche plus profond sur la teub de Yazid, lui me bloquer grave la tête comme s’il avait peur que je la lâche, putain c’était terrible, je me faisait niquer chez nous en Algérie par mes zincous, le rêve. - Putain mortel la bouche de Kamelas, même ma meuf à paname, elle fait pas mieux, tu kiff ma salope la teub de ton zincou, hein suce bien je défonce ta petite bouche, je vais pas tarder à gicler ma sauce ma lopsa. -


Attends Yazid, faut grave que tu gouttes à ses seuffes, une vraie chatte de meuf, trop puissant, vas y viens prends ma place. Yazid regarda ma rondelle et fut étonné de la voir aussi ouverte, il ne perdit pas de temps et me la défonça pour mieux goûter, la queue de Farid était déjà au fond de ma gorge, je kiffais sucer sa queue. - Putain, mortel, Farid t’as raison grave une chatte de meuf, putain faut que les autres la goûte aussi t’inquiètes pas pour Hakim et Bachir, leur tour viendra, profite un peu et après on se le fait ensemble, c’est moi qui m’occupe de ça. A ces mots, Farid avait mis son rôle en valeur, c’est lui qui me feras tourner quand il voudra, le kiffe d’avoir un boss comme às. La sœur de Yazid l’appela et là coup de panique, ils ont speeder sur mes deux trous, et m’ont giclés toute leur sauce celle de Farid je la connaissait et Yazid m’a juté sur les seuff, - T’inquiètes ma salope on va se rattraper. - Grave, toi Farid t’as du le baiser dans la chambre, salaud en plus j’ai pas midor hier soir, j’aurais kiffer - T’inquiètes Yazid, je voulais le tester et ça va mortel c’est une bonne lopsa notre zincou. On se doucha rapidement et on a filé dans nos chambres pour se sapé car on devait ce matin allait faire un peu de jardinage. 

APRES LE SPORT
... puis je tourne autour, une fois, deux fois, trois fois. A la troisieme, je lève les yeux, le fixe et tout d'un coup j'enfourne sa teub en entier dans ma bouche et en même temps je lui fous un doigt au cul. Il gémit plus fort, l'effet est garanti. Je le pompe bien à fond, alternant les coups de langue et les sucions, mon doigt dans son cul suit le rythme de ma bouche. Il pose une main sur ma tête pour essayer de donner le rythme, je lui fais comprendre que c'est moi qui maitrise le jeu. D'ailleurs je commence à avoir un peu mal à la machoire vu le calibre alors je me relève et lui dis de descendre s'occuper de mon chorizo bien épicé. 

Il commence à dire non, je hausse le ton et le fauche. C'est risqué vu qu'il est plus balaise que moi, mais il se soumet. Il se fout à genoux, attrappe ma teub avec sa main de black, la branle un peu pour se donner du courage et puis il approche sa bouche. Une fois mon gland sur la langue, je ferme les yeux pour en profiter. Je me rends vite compte que c'est pas la premiere bite que Stef suce. Il est doué, le chien! Par contre la largeur lui donne un peu de fil à retordre. Je l'aide en attrappant sa tête et en le baisant bien à fond. Il a un haut le coeur, mais je persiste. 

Sa bouche, c'est mon trou, mon chorizo une fois entamé, faut tout bouffer. Il s'habitue vite et je le pilonne sans pitié. Ca me donne envie de tester son boule de black. Je le relève, le fait pencher en avant et lui remet un doigt. Ca rentre direct. Il comprend ce qui va lui arriver et me tend du gel douche. On a rien d'autre, donc ça fera l'affaire pour lui préparer le cul. Je rajoute mon majeur à l'index et lui travaille son trou de pute black. Il se cambre pour faciliter les mouvements. Je décide de rajouter un doigt, qui passe plus difficilement mais qui rentre. Avec ça, je devrais pouvoir l'empaler sans qu'il hurle trop. J'attrappe ma teub, encore plus raide que tout à l'heure, et crache sur mon gland puis sur le trou de STef. Je trace en moins de 10 secondes chopé une capote dans mon sac de sport et je reviens en virant l’embalage pour empaqueté ma bite bien raide. Il va prendre grave !

Je recommence à jouer avec mes doigts dans son beau boule de black qui commence à bien s’ouvrir et je pose mon gland bien gonflé sur sa chatte de mec. Je lui attrappe les hanches et commence à pousser. Je vais doucement pour que le gland entre, mais une fois que c'est fait, je fais tout suivre d'un coup. Stef crie et essaie de me faire sortir de son cul. Je lui fesse le boule pour qu'il se taise, puis j'attrappe sa teub pour qu'il se rappelle qu'il bande comme un taureau, donc qu'il aime ça. Je le branle doucement et commence mon pilonnage. Hum! Il est bien chaud son trou, serré pile poil comme il faut. Je kiffe. Je le ramone à fond, puis plus lentement, puis à fond encore. Je sors toute ma teub et la rerentre d'un coup. Je repete ça plusieurs fois. Puis je bouge plus, et là c'est Stef qui s'empale tout seul, trop excité pour pouvoir se passer de mon gros saucisson qui va le faire jouir du cul. Je coince Stef contre le mur et là je lache la cavalerie pour la défilé final. Je monte en cadence de plus en plus. Il comprend que je vais pas tarder à cracher à la sauce et je sens qu'il secoue son baobab avec frénésie. J'en peux plus, j'ai le jus qui monte, dans un coup de rein bien profond je lui largue toute ma dose de crème au fond de la capote bien calé dans son cul en criant. Son cul se serre, il jouit aussi et arrose le mur des douches en gémissant. Je lui pince les tetons et lui donne une petite fessée, pendant que je décule. Il se retourne, on s'est roulé une grosse pelle puis on s'est redouché.
Franchement, ce jour là, j'ai pas regretté de m'etre entrainé. D'autant plus que j'ai appris hier que Micka était resté à nous mater ce jour-là.... Je vous raconterai ça une autre fois!